Saviez-vous qu'au début des années 1970, le gouvernement canadien accordait plus de soutien aux arts et métiers (arts textiles) de Gjoa Haven qu'aux sculptures ou aux estampes ?
Ce qui explique pourquoi Gjoa Haven exporte aujourd'hui de nombreuses belles tentures murales, poupées en tissu et vêtements faits à la main vers le Sud.
« Afloat » de Dianne K. est fabriqué à la main avec précision et amour.
Il y a tellement de détails sur cette poupée que les enfants plus âgés et les adultes trouveront fascinants.
Notre heureux chasseur porte un parka orné de douce fourrure marron et son sac de transport est en fourrure de phoque.
Ses mitaines sont faites à la fois de cuir souple et de daim. Il porte même une large ceinture en cuir.
Les détails sont si doux.
Il y a deux lances munies de minuscules crochets et la corde en tendon est enroulée dans la main de notre Inuk, prête pour le moment où un phoque involontaire passe la tête hors de l'eau. Il y a des peaux de fourrure sur le dessus du kayak et même une bobine de corde supplémentaire.
Notre chasseur affiche le plus grand sourire sur son visage alors qu'il se balance de haut en bas à la surface de l'océan Arctique.
L’art de fabriquer des poupées dans l’Arctique remonte à mille ans.
Les poupées les plus anciennes jamais trouvées au Canada ont plus de mille ans et ont été trouvées sur l'île Bathurst.
Dès leur plus jeune âge, les filles inuites apprenaient à coudre des fourrures et des peaux, car coudre des vêtements imperméables était essentiel à la survie.
Ils cousaient souvent de petites poupées qui pouvaient tenir dans la manche ou la poche de leur parka.
Les chasseurs accrochaient souvent de petites poupées sur leurs bateaux.
Cette poupée serait un trésor pour un enfant plus âgé.
Cela pourrait facilement être l’inspiration pour toute une vie de collection.
FIÈREMENT CANADIEN DEPUIS 2007
Nous promettons de vous envoyer uniquement de bonnes choses
